Les batailles simulées par cette règle de jeu partent d’un postulat : les troupes coloniales sont d’emblée en situation difficile. Que ce soit à cause d’une ignorance du terrain, d’une reconnaissance défectueuse, d’une faille dans la logistique, d’un commandement inexpérimenté, paresseux ou arrogant, ou d’un adversaire fortement mobilisé, leurs effectifs doivent se battre pour survivre avant de penser à vaincre.

Cette orientation découle d’un désir d’éviter les batailles rangées où les natifs, déjà obligés d’être très nombreux, se font décimer par la puissance de feu d’un adversaire contraint à une posture statique.

La défaite d’une l’armée coloniale, parce que rare, avait souvent d’importantes répercussions : un haut commandement réticent à poursuivre les opérations ou bien une classe politique qui retirait son soutien.

Conscient maintenant de l’enjeu, sauriez-vous éviter un « Désastre Colonial » ?

jeudi 13 août 2020

Unité engagée en corps à corps

 

Une fois les déplacements adverses terminés, mais avant leurs tirs, l’unité en défense se conforme à l’unité attaquante ayant la plus grand Cohésion, de façon à l’avoir dans l’un de ses deux hexagones de face.  Cette unité attaquante devient l’attaquant principal et sera le seul à subir les conséquences si les attaquants sont vaincus.

 

Une unité engagée dans un combat au corps à corps reste une cible légitime pour des tirs, mais bénéficie d’un facteur de protection.  Cependant une unité engagée dans un combat au corps à corps, et ciblée par un tir, ne calcule pas ses pertes avant la fin du combat ; ainsi les touches contribueront au résultat du corps à corps. 

 

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